Le journal quotidien - non hétérophobe - de
Silvano Mangana (nom de plume Louis Arjaillès). Maison de confiance depuis 2007.

"La gravité est le plaisir des sots"
(Alexandre Vialatte)


vendredi 30 octobre 2015

Radeautage

Théodore Géricault : Le radeau de la méduse (1818/1819) - Musée du Louvre, Paris
On l'a certainement beaucoup vu.
Je ne m'en lasse pas.

3 commentaires:

joseph a dit…

Un visionnaire , et si on rêvait d' emboucher les trompettes de Jéricho et abattre les murs frontaliers ...

Anonyme a dit…

je m'en lasse bien, me rappellent scenes de tous les jours dans la mer de sicile lors des disperates recherchent une terre et une paix que ont perdu dans le medio-orient; c'est un teme du jour que l'Europe oublie souvent.
Catania

Pierre a dit…

Idem. Théo Géricault est un grand peintre - moins considéré qu'il le mérite. Dommage que l'emploi désastreux d'un vernis bitumeux obscurcisse tout. Même constat pour des œuvres de son ami Delacroix.