Le journal quotidien - non hétérophobe - de
Silvano Mangana (nom de plume Louis Arjaillès). Maison de confiance depuis 2007.

"La gravité est le plaisir des sots"
(Alexandre Vialatte)


lundi 9 janvier 2017

Prix du roman Gay 2016 : le "mystère Louis Arjaillès"

Un nombreux public se pressait, samedi dernier, à la librairie Violette & Co, à Paris. Si nombreux que la mezzanine où se déroulait la remise du "Prix du roman Gay 2016" se révéla rapidement trop petite, contraignant les retardataires à s'agglutiner dans l'escalier.
Je ne diffuserai pas de photo car, tenant à garder, pour de multiples raisons, l'anonymat, j'ai demandé aux photographes présents de s'abstenir de fixer mon image.
Je les remercie d'avoir respecté mon vœu.
La manifestation s'est déroulée dans une ambiance bon enfant, chaque lauréat s'exprimant brièvement (ce fut mon cas, en tout cas), et pouvant discuter ensuite avec les spectateurs avant la traditionnelle séance de signatures.
Je suis très touché de ce "coup de cœur", d'autant que le "grand" prix est attribué à un (excellent) écrivain professionnel édité par une "vraie" maison d'édition, et non des moindres.
Voilà qui m'encourage à poursuivre sur cette voie, et je remercie vivement les membres du jury pour leur bon goût.

Palmarès :

Prix du roman gay 2016 : Je suis en vie et tu ne m'entends pas de Daniel Arsand (Actes Sud)
Mention spéciale du jury : Un ange pour l'été de Michel Bellin (Chapitre.Com)
Coup de cœur du jury : Tombe, Victor ! de Louis Arjaillès (Edilivre)
Prix spécial découverte : Désordres de Jonathan Gillot (Editions Ex-Aequo)
Prix du roman policier gay : Crime au kitsch de Hervé Latapie (Le Gueuloir)
Prix d'honneur pour l'ensemble de son oeuvre : HigorJika aka Loïc Le Doeuff






16 commentaires:

Anonyme a dit…

Vous êtes vraiment fair-play, Silvano (voilà un anglicisme que vous n'allez pas aimer).
Très élégant, les lecteurs de ce blog ne s'en étonneront pas.

"Coup de coeur" est une bien belle expression ; le coeur vaut tous les prix.
Toutes mes félicitations.
Marie

Roland a dit…

Une pressante invitation à poursuivre l'oeuvre.

Hersaint a dit…

Mes vives et sincères félicitations!!!

Eric D a dit…

Félicitations Silvano!

Jules D. a dit…

Amplement mérité.
Jules

Anonyme a dit…

Le coup de cœur récompense sans l'ombre d'un doute le coup de maître !
Je suis content pour vous Silvano. Content aussi de faire lire ce beau récit autour de moi.
Stonequiroule

Tambour Major a dit…

Toutes mes félicitations !

Anonyme a dit…

Félicitations Sylvano.

Anonyme a dit…

Félicitations, Silvano. De tout cœur.

joseph a dit…

Le cœur a ses raisons , et en tout il faut raison garder! proficiat!

paul c. a dit…

Félicitations Silvano pour ce "coup de coeur" littéraire .

Pierre a dit…

Cette distinction est vraiment une belle mise en lumière, à l'image de votre écriture... laquelle a posé un rayon de soleil sur des images, des odeurs, des souvenirs, des silences, des émotions, des sensations, des voix, des espoirs, des surprises, des rires, des regards, des goûts (sucrés ou salés). Et surtout, partout, se révélant du fond noir et blanc des pages : une éblouissance de couleurs ! (by de Luxe) avec ce grain chaud du grand écran, à la discrétion du balcon où s'est réfugié une jeunesse buissonnière, pour la palpitante séance d'un perpétuel jeudi après-midi, en suspens d'un monde implacable qui a la cruauté de tourner... sans pour autant pouvoir affecter la capacité de l'art, le vôtre, à lui résister.

Suis sincèrement heureux, ravi, de ce commencement de renommée littéraire, assurément méritée !

Je vous embrasse,
Pierre.

Silvano a dit…

Merci à vous tous du fond du cœur. Vous le savez, sans ce blog, sans vos commentaires, sans vos encouragements et vos critiques, "Tombe Victor " n'aurait jamais vu le jour.

The Narrow Corner a dit…

Etre "coup de coeur"... Peut-on décemment rêver plus joli compliment ?

Toutes mes félicitations, Silvano, et sur le métier remettez votre ouvrage !

Maxence 27 a dit…

Bravo, cher Silvano. C'est largement mérité.

Anonyme a dit…

Félicitations, Silvano !
Et longue carrière à Louis.

Bien à vous,
-Cornelis-