Le journal quotidien - non hétérophobe - de
Silvano Mangana (nom de plume Louis Arjaillès). Maison de confiance depuis 2007.

"La gravité est le plaisir des sots"
(Alexandre Vialatte)


mercredi 7 juin 2017

Solution du jeu cinéma



Vous avez été nombreux à répondre, via les commentaires ou même par mail, à ma question relative à la photographie proposée.
Il s'agissait d'identifier Hammam (Il bagno turco ou Hamam), film italo-turc de Ferzan Ozpetek (1997). Bravo à tous !
Les deux amants de la photo sont interprétés par Alessandro Gasman (fils de l'immense Vittorio) et Mehmet Günsür.
Si j'en juge par vos réponses, le souvenir de ce bain turc cinématographique est encore très chaud dans nos mémoires communes.
Le tournage d'un tel sujet serait, hélas, impossible dans la Turquie actuelle.





Extrait révélateur :



Synopsis :
Lors d'un voyage a Rome avec sa femme Marta et leur ami Paolo, Francesco reçoit un télégramme de Turquie lui annonçant qu'il hérite de sa tante Anita, propriétaire d'un hammam a Istanbul. Il part aussitôt d'autant plus que Marta est devenue la maitresse de Paolo. En Turquie, il découvre la passionnante histoire de sa tante. Il décide de rester et de restaurer le bain turc.

Alessandro Gassman et Mehmet Günsür

Les 16 commentaires (gagnants ou presque) sont au pied du billet d'origine : clic

5 commentaires:

Petrus a dit…

Film superbe ! Quant à la Turquie actuelle, dans les hammâms, il s'en passe toujours de belles ! dixit deux amis qui furent l'été dernier à Istanbul, me décrivant une ambiance de back rooms d'antant...

Silvano a dit…

Depuis l'été dernier, il s'est passé beaucoup de choses en Turquie.

Hersaint a dit…

C est fou ce qu un néophyte apprends ici,,,merci,Silvano

Hersaint a dit…

Apprend,oups!

pepito a dit…

en fait, je ne suis pas grand fan d'Ozpetek... on est souvent charmé à la première vision mais rarement à le seconde... j'ai revu "haman" et m'y suis profondément ennuyé... je me suis même demandé si c'était bien le même film... le seul à m'avoir totalement séduit (et encore, je ne l'ai pas revu), c'est celui qui fait appel à des fantômes de théâtre... et, évidemment, des séquences ici et là... il faudrait peut-être que je revoie l'intégrale à tête reposée...
baci