Je reste toujours perplexe devant l’excitation des gens à l’annonce d’un résultat électoral, comme s’ils venaient de gagner à la loterie. Le peuple naïf et crédible ne cesse d’être manipulé par les politiques. Et avec Mitterrand, décoré de la Francisque par Pétain et resté fidèle à René Bousquet toute sa vie, ils se sont encore une fois trompés…
Ah, je voulais fermer ce court billet aux commentaires, voyant venir les polémiques. Je retiens des années Mitterrand les avancées indéniables pour notre société. Et du 10 mai 1981, une nuit magique loin de la foule. Pour le reste, l'Histoire est juge.
D’accord avec vous, cet homme une rose à la main à malgré tout ouvert un véritable chemin. Qui peut se défendre vraiment de cela pour la plupart de ceux qui ont suivi, et qui n’ont fait que déconstruire ?
Le pouvoir était quand même bien verrouillé par un appareil gaulliste très réactionnaire depuis les années 60. Même si l'intermède Giscard d'Estaing avait marqué de timides avancées.
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Pas tous ont exulté ; beaucoup de ceux qui ont exulté , ont été déçus .
RépondreSupprimerQuel bon souvenir! J'avais voté pour la première fois et j'étais heureux et fier.
RépondreSupprimerEt nous sommes passés de « Regarde, un homme une rose à la main… » à « Dis, quand reviendras-tu ? »…. (Triste)
RépondreSupprimerVous êtes le seul à le rappeler
RépondreSupprimerJe reste toujours perplexe devant l’excitation des gens à l’annonce d’un résultat électoral, comme s’ils venaient de gagner à la loterie. Le peuple naïf et crédible ne cesse d’être manipulé par les politiques. Et avec Mitterrand, décoré de la Francisque par Pétain et resté fidèle à René Bousquet toute sa vie, ils se sont encore une fois trompés…
RépondreSupprimerAh, je voulais fermer ce court billet aux commentaires, voyant venir les polémiques. Je retiens des années Mitterrand les avancées indéniables pour notre société. Et du 10 mai 1981, une nuit magique loin de la foule. Pour le reste, l'Histoire est juge.
SupprimerD’accord avec vous, cet homme une rose à la main à malgré tout ouvert un véritable chemin. Qui peut se défendre vraiment de cela pour la plupart de ceux qui ont suivi, et qui n’ont fait que déconstruire ?
SupprimerLe pouvoir était quand même bien verrouillé par un appareil gaulliste très réactionnaire depuis les années 60. Même si l'intermède Giscard d'Estaing avait marqué de timides avancées.
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