Le livre de Hamad el Tifachi, Les Délices des Coeurs, qu'il faudrait faire lire aux intégristes pour élargir leurs idées, rapporte une anecdote survenue au grand poéte classique Abou Nawas. Exactement dans la situation du petit chat. Une statue de Abou Nawas a été installée à Bagdad au bord du Tigre. Je ne pouvais pas m'empécher de sourire, à chaque passage. Une femme lui verse à boire. En réalité ce devait être un jeune homme qui versait à boire.
Bonjour. Ce blog rédigé bénévolement ne fait pas partie de ces réseaux "sociaux" où, sous couvert d'anonymat, on vient déverser ses petites ou grosses haines. Les commentaires "ronchons" ou égrillards ne sont pas publiés, de même que ceux dont le pseudo contient un lien menant vers un blog ou site pornographique. Signez d'un pseudo si vous voulez, sans en changer, de façon à ce que nous puissions sympathiser, merci !
Voici encore une nouvelle facette de la vie rêvée des chats.
RépondreSupprimerSympa ton blog que je découvre très bon sens artistique dans le choix de tes photos
Merci.
RépondreSupprimerLe livre de Hamad el Tifachi, Les Délices des Coeurs, qu'il faudrait faire lire aux intégristes pour élargir leurs idées, rapporte une anecdote survenue au grand poéte classique Abou Nawas.
RépondreSupprimerExactement dans la situation du petit chat.
Une statue de Abou Nawas a été installée à Bagdad au bord du Tigre.
Je ne pouvais pas m'empécher de sourire, à chaque passage.
Une femme lui verse à boire.
En réalité ce devait être un jeune homme qui versait à boire.
Roger
Moi vouloir être chat...
RépondreSupprimer