Je ne pense qu'à Lui et n'invoque Certes pas Sa présence ! et voici qu'à l'improviste Apparaissent Ses anges étrangers. Froidement, dans ma vie, pour briser Mes fils tendus, embrouiller les autres : Saine et sauve, inconsciente, rit ma proie…
(Ce jour-là, Son ange fut un sérieux, tranquille paysan qui ME VIT, une autre fois ce fut un rapide ouragan qui me bloqua dans ma chambre, LOIN… Ou encore, la modeste effigie D'un Christ qui pendait d'une ficelle Sur le torse que j'effleurais de la main.)
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RépondreSupprimerJe ne pense qu'à Lui et n'invoque
Certes pas Sa présence ! et voici qu'à l'improviste
Apparaissent Ses anges étrangers.
Froidement, dans ma vie, pour briser
Mes fils tendus, embrouiller les autres :
Saine et sauve, inconsciente, rit ma proie…
(Ce jour-là, Son ange fut un sérieux,
tranquille paysan qui ME VIT,
une autre fois ce fut un rapide ouragan
qui me bloqua dans ma chambre, LOIN…
Ou encore, la modeste effigie
D'un Christ qui pendait d'une ficelle
Sur le torse que j'effleurais de la main.)
Poèmes de jeunesse, Pier Paolo Pasolini