Ça n'a pas échappé à de fidèles lecteurs, perplexes : je voulais compléter le billet précédent avec cette interprétation très nettement supérieure de la Toccata op.7 de Schumann et signaler qu'un beau physique n'est pas souvent synonyme de "bon pianisme".
Pogorelich, lui, reçut les deux en don de dame nature :
Ha oui... là, ça a une toute autre classe. On comprend enfin ce qu'il se passe. Un sacré pianiste que j'aimerai bien aller écouter en concert tiens !
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