Pour rester fidèle à mes pires travers : En 1917 François Joseph était mort. Sissi avait déja été poignardée. Le caporal autrichien Hitler était dans les tranchées. Ernst Jünger prenait les notes qui allaient lui permettre d'écrire Orages d'acier. Roger
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Celle-là, désolé, je la trouve hideuse.
RépondreSupprimer@Kynseker: tout peut arriver...
RépondreSupprimerÇa me rappelait un soir de 1917, quand j'étais grand chambellan à la cour de François-Joseph...
?
RépondreSupprimer!
RépondreSupprimerMoi j'aime bien le dos plein d'ombres de courbes de muscles.
RépondreSupprimerVous en avez vécu des choses, décidément, j'espère que vous nous raconterez cette histoire ci aussi.
Et oui, vous voyez, Leav, comment l'imagination se déclenche : et hop, un roman "d'époque" !
RépondreSupprimerPour rester fidèle à mes pires travers :
RépondreSupprimerEn 1917 François Joseph était mort.
Sissi avait déja été poignardée.
Le caporal autrichien Hitler était dans les tranchées.
Ernst Jünger prenait les notes qui allaient lui permettre d'écrire Orages d'acier.
Roger