Comment pourrait-on se satisfaire de quelque chose de fugace qui, s'y l'on s'en gargarise, est appelé à fournir des regrets et à faire vivre dans le passé ?
@Kynseker : vous tenez le langage de la raison. @Leav : bien sûr ; ce n'était pas mon propos :
c'est la photo qui m'a inspiré ces quelques lignes : je trouve ce garçon beau et désemparé. Face à quoi, à la vie d'adulte qui se profile,à un dépit amoureux, aux difficultés du temps ?
Il est si beau, et c'est quelque part sa détresse qui me touche. Plus en tous cas que l'arrogance de ceux qui se savent beaux gosses et l'étalent sans pudeur.
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La trêve des confiseurs l'aidera à se construire. Qu'il profite des derniers travaux d'histoire gay.
RépondreSupprimerCombien tu as raison!
RépondreSupprimerComment pourrait-on se satisfaire de quelque chose de fugace qui, s'y l'on s'en gargarise, est appelé à fournir des regrets et à faire vivre dans le passé ?
RépondreSupprimerMon dieu que la vie doit être horrible quand on est même pas jeune et beau et que l'on cumule toutes les autres difficultés.
RépondreSupprimer@Kynseker : vous tenez le langage de la raison.
RépondreSupprimer@Leav : bien sûr ; ce n'était pas mon propos :
c'est la photo qui m'a inspiré ces quelques lignes : je trouve ce garçon beau et désemparé.
Face à quoi, à la vie d'adulte qui se profile,à un dépit amoureux, aux difficultés du temps ?
Il est si beau, et c'est quelque part sa détresse qui me touche. Plus en tous cas que l'arrogance de ceux qui se savent beaux gosses et l'étalent sans pudeur.
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