Le célèbre récital à Moscou en 1986
Son homosexualité mal vécue fut vraisemblablement l'une des raisons qui le menèrent aux dépressions nerveuses qui l'éloignèrent à plusieurs reprises des salles de concert.
Ses retours sur scène étaient guettés par un public quasi-fanatique, dont on comprend la ferveur : le jeu de Vladimir Horowitz demeure inimitable et jamais égalé.
"Le" récital de Vienne :
Horowitz demeure dans la ememfamille de pianistes tels quels Arrau, Gilels, Horszowski.
RépondreSupprimerUn autre genre est Schnabel, Backhaus, Kempff, plus "germaniques! Mon favori est Kempff!