Alors, le temps de deux battements de paupières - pas plus, pourtant c'était bien assez -, l'averse de neige se métamorphosa en pluie d'été drue et tiède, balayant la moiteur de midi; rêve subit qu'une silhouette accompagna fugitivement, bras tendus comme pour étreindre l'averse.
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adoro tu blog es tan exisito felicitaciones guillo
RépondreSupprimerJe l'aperçois, entre les flocons, ce petit prince, qui apporte un regard généreux sur notre agitation humaine.
RépondreSupprimerAlors, le temps de deux battements de paupières - pas plus, pourtant c'était bien assez -, l'averse de neige se métamorphosa en pluie d'été drue et tiède, balayant la moiteur de midi; rêve subit qu'une silhouette accompagna fugitivement, bras tendus comme pour étreindre l'averse.
RépondreSupprimerAh, les beaux commentaires !
RépondreSupprimerMerci.
Presque nu dans la chaleur étouffante de l'été, au milieu du parc, il se raffraichissait la peau sous la brumisation devant la serre à orchidées ...
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