Une fois n'est pas coutume, j'adresse un merci majuscule au bel être humain avec lequel, l'espace de trois courtes journées, je suis passé d'une année à l'autre.
Il y eut un bel échange de sentiments, des moments musicaux variés de musique dite "classique" et de chansonnettes, dont deux que nous ne pourrons plus jamais entendre sans penser à ce "weekend" (que ce mot est trivial quand nous avons volé
si haut !).
si haut !).
Il y eut, pêle-mêle, deux concerts privés réciproques, la visite chez un mien ami toujours jeune, ému de cette palpable complicité, des étourdissements un peu alcoolisés, le don des ressentis intimes, l'écoute, de ta part, de mes conseils paternels ("maternels", dirais-tu en souriant), la dégustation de mets en dédicace, l'incursion (avec quelle classe !) dans mon petit monde professionnel où, là encore, notre complicité irradiait...
Depuis plusieurs mois, je rédige ce blog chaque jour en pensant au regard que tu portes sur ces pages virtuelles.
C'est sans doute en raison de cette sincérité qu'il fait tant de nouveaux adeptes.
C'est pour cela que je devais, ici-même, et pour une fois (ici) sans pudeur, que je devais, mon ami, te dire merci.
Noble déclaration, qui balise un parcours et une construction amoureuse que nous saluons.
RépondreSupprimerJe l'envie ; la chanson est très belle.
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