De plus, Schubert, c'est parfait quand on veut pleurer avec grâce et distinction.
Ou toute colère dehors (voir vers 3'37).
Mais toujours dignement, n'est-ce-pas ?
@Jean-Paul V. : Lewis est, d'ailleurs le digne élève de Brendel. Je l'ai entendu dans Schubert en récital, et, croyez-moi, c'est un pianiste à suivre dans ce répertoire. Brendel, malheureusement, a pris sa retraite...
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C'est beau. C'est un peut triste gay culte ce dimanche je trouve.Gardes ton humour.
RépondreSupprimerStan, on peut avoir l'humour... triste !
RépondreSupprimerIl y en a dans ces lignes, si vous lisez bien.
Pour moi le meilleur pour Schubert est Alfred Brendel, là on a une vraie tristesse lucide avec une très large palette de sentiments.
RépondreSupprimerJean-Paul V
@Jean-Paul V. : Lewis est, d'ailleurs le digne élève de Brendel.
RépondreSupprimerJe l'ai entendu dans Schubert en récital, et, croyez-moi, c'est un pianiste à suivre dans ce répertoire.
Brendel, malheureusement, a pris sa retraite...