Oui, lire La Muse Garçonnière, de ce paidos erastein, Straton de Sardes, contemporain d'Hadrien, ou ce pauvre Rutebeuf, si proche de nous. Ou plus difficile mais plus délectable, aller à Etrepigny, s’asseoir dans l'église du curé Meslier, pour lire un chapitre de l'Unique du grand Max Stirner. Roger
Bonjour. Ce blog rédigé bénévolement ne fait pas partie de ces réseaux "sociaux" où, sous couvert d'anonymat, on vient déverser ses petites ou grosses haines. Les commentaires "ronchons" ou égrillards ne sont pas publiés, de même que ceux dont le pseudo contient un lien menant vers un blog ou site pornographique. Signez d'un pseudo si vous voulez, sans en changer, de façon à ce que nous puissions sympathiser, merci !
Quel bonheur ! La référence attendue, une analyse novatrice, une invitation à prolonger ces instants magiques...
RépondreSupprimerÉcrire, c'est survivre.
RépondreSupprimerOui, lire La Muse Garçonnière, de ce paidos erastein, Straton de Sardes, contemporain d'Hadrien, ou ce pauvre Rutebeuf, si proche de nous.
RépondreSupprimerOu plus difficile mais plus délectable, aller à Etrepigny, s’asseoir dans l'église du curé Meslier, pour lire un chapitre de l'Unique du grand Max Stirner.
Roger