La largeur des rivières dans les villes universitaires ne permet pas l'organisation de régates ou six ou sept bateaux partent de front. Donc à la fin du printemps les bateaux de chaque collège s'affrontent chaque soir deux par deux. Les départs sont organisés dans l'ordre inverse du classement de l'année dernière. Le premier soir le bateau poursuivi , le dernier de l'année dernière part 15 ou vingt secondes avant le bateau poursuivant, qui était l'avant dernier. Le bateau rattrapé est éliminé. Le lendemain l'avant dernier est poursuivit par l'ante pénultième. Le bateau rattrapant montre vraiment ses qualités puisqu’il est gêné par l'agitation que les avirons du bateau rattrapé laissent dans l'eau et que les rameurs du bateau rattrapé le voient s'approcher. Roger.
Bonjour. Ce blog rédigé bénévolement ne fait pas partie de ces réseaux "sociaux" où, sous couvert d'anonymat, on vient déverser ses petites ou grosses haines. Les commentaires "ronchons" ou égrillards ne sont pas publiés, de même que ceux dont le pseudo contient un lien menant vers un blog ou site pornographique. Signez d'un pseudo si vous voulez, sans en changer, de façon à ce que nous puissions sympathiser, merci !
Il faut se préparer aux régates comme aux grands moments de la vie universitaire. Que l'âme de Maurice les accompagne...
RépondreSupprimerIls ne pouvaient etre plus British!
RépondreSupprimerLa largeur des rivières dans les villes universitaires ne permet pas l'organisation de régates ou six ou sept bateaux partent de front.
RépondreSupprimerDonc à la fin du printemps les bateaux de chaque collège s'affrontent chaque soir deux par deux. Les départs sont organisés dans l'ordre inverse du classement de l'année dernière. Le premier soir le bateau poursuivi , le dernier de l'année dernière part 15 ou vingt secondes avant le bateau poursuivant, qui était l'avant dernier. Le bateau rattrapé est éliminé. Le lendemain l'avant dernier est poursuivit par l'ante pénultième. Le bateau rattrapant montre vraiment ses qualités puisqu’il est gêné par l'agitation que les avirons du bateau rattrapé laissent dans l'eau et que les rameurs du bateau rattrapé le voient s'approcher.
Roger.