C'est ce que je souhaiterais que m'offre mon quartier, un café de cuir et de bois où je pourrais musarder, lire, écrire, écouter des conversations forcément intéressantes en buvant un vrai bon chocolat chaud à l'ancienne, d'où les téléphones portatifs seraient bannis, où seul, de temps à autre, le bruit du percolateur viendrait rompre ma quiétude...
Je n'irais au café de la tranquillité qu'après m'y être préparé ; je soignerais ma mise pour être en harmonie avec l'atmosphère un peu compassée de ce refuge salvateur.
Ce serait un voyage dans le temps, quelque part dans la Mitteleuropa, ou à Trieste sur les traces de James Joyce.
Photographies via LosPalmer
Au petit fer à cheval, dégustant un excellent café, en attendant l'ouverture des Mots à la bouche...
RépondreSupprimerPrévoir un arrêt au Kärntner Bar !
RépondreSupprimerRoger