Louis avait trouvé un petit jeu pour semer le trouble dans l'esprit de ces jeunes gens, issus du prolétariat, qui venaient trouver refuge, désœuvrés, les soirs d'hiver, dans la maison ouverte à qui le voulait : dissimulant le reste du corps, il leur montrait, sur des revues, des fesses de femmes et des fesses de jeunes hommes. Il exultait quand l'un d'eux désignait sans hésiter un glabre fessier masculin comme objet de sa préférence. Le garçon rougissait tout d'abord, incrédule, avant de reconnaître, dans un sourire, qu'il l'avait bien eu...
Le ver était dans le fruit.
malin le Louis je vais lui piquer son idée !
RépondreSupprimercomme l'écrivit naguère un auteur qu m'est proche , pour relativiser cette féminisation à outrance de certains termes, après tout un film de culs se résume à une histoire de fesses et celles-ci sont particulièrement jolies
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