Il me raille, prétendant qu'il me faut un cappuccino et trois caffè pour que j'entre dans la journée et consente, enfin refleuri (!), à entreprendre notre randonnée du jour.
Ce n'est pas faux, pensé-je en commandant un quatrième caffè pour être à la hauteur de l'idée qu'il se fait de moi, ou, peut-être, pour tenter de l'agacer. En fait, je crois que cela l'émeut. Ou peut-être s'enorgueillit-il d'avoir su déceler mes faiblesses. L'ami concerné rayera les mentions inutiles.
Quand je suis seul, un seul suffit. |
Ah! i cannoli siciliani! Une merveille, mais peut-être pas au petit-déjeuner... Meno male qu'il y a une pâtisserie sicilienne en bas de chez moi!
RépondreSupprimer