vendredi 31 mai 2013
D'une exception au climat musical délétère
On se croit revenu de tout,
la musique populaire
se mord la queue depuis
des décennies, pense-t-on.
Et l'on se réfugie dans les
grands classiques.
Pour ne pas
vieillir trop vite,
tout de même,
on tend une oreille
distraite à "ce qui se fait".
On finirait presque par
désespérer et soudain,
merci la vie, arrive un
TALENT
qui vous explose aux sens !
la musique populaire
se mord la queue depuis
des décennies, pense-t-on.
Et l'on se réfugie dans les
grands classiques.
Pour ne pas
vieillir trop vite,
tout de même,
on tend une oreille
distraite à "ce qui se fait".
On finirait presque par
désespérer et soudain,
merci la vie, arrive un
TALENT
qui vous explose aux sens !
jeudi 30 mai 2013
Richard Strauss | Schwarzkopf - Szell
Une "grande dame de la musique" m'avait reçue chez elle, dans les Alpes, pour quelques jours où nous partagions le temps entre séances de travail et conversations de belle tenue. Le papier-peint "liberty" de ma chambre, les petit-déjeuners agrémentés de confitures "maison", les repas du soir "à la fraîche" m'ont laissé un souvenir ému. La musicienne était mariée à un antiquaire dont l'attitude et les manières me donnent à penser, aujourd'hui, que j'avais affaire à un -charmant- couple de convenances.
C'est lui, petit homme replet arborant nœud-papillon et veste de tweed, qui me fit découvrir cette œuvre : la voix d'Elisabeth Schwarzkopf voyageait de l'électrophone jusqu'au jardin pour courir ensuite dans la vallée, se brisant sans doute aux premiers échos des bruits de la grande ville, en contrebas.
mercredi 29 mai 2013
mardi 28 mai 2013
Heureuse nouvelle
lundi 27 mai 2013
Ma quête
J'ai fait toutes les gares, j'ai pris tous les avions du monde, j'ai traîné mes yeux hagards dans tous les cafés à la ronde, pour te retrouver.
dimanche 26 mai 2013
samedi 25 mai 2013
Vos messages
Je reçois de touchants messages de lecteurs (detoizamoi@aol.com) dont ce beau champ de coquelicots envoyé par Pierre, du Vaucluse, en réaction à mes fleurs belges de mardi dernier. Quelquefois des confidences (C., merci !) et des photos personnelles que je ne publie qu'après autorisation de l'expéditeur.
Je me fais un devoir de toujours répondre : donc, n'hésitez pas !
S.
Chopin est vivant
De Frédéric Chopin (Prélude op.28 n° 20 ) à Donna Summer, itinéraire d'une belle suite harmonique. La version française du Could it be magic "créé" par Barry Manilow, dénichée au rayon vintage, due à Alain Chamfort alors en période de transition, a eu l'heur d'intéresser mon oreille par cette seule phrase qui suffit à la sauver : "le manque d'amour nous fait vieillir".
Mais finalement, la pièce originale, brève, simple, douloureuse, disqualifie toutes les adaptations :