samedi 25 mai 2013

Chopin est vivant



De Frédéric Chopin (Prélude op.28 n° 20 ) à Donna Summer, itinéraire d'une belle suite harmonique. La version française du Could it be magic "créé" par Barry Manilow, dénichée au rayon vintage, due à Alain Chamfort alors en période de transition, a eu l'heur d'intéresser mon oreille par cette seule phrase qui suffit à la sauver : "le manque d'amour nous fait vieillir".



Mais finalement, la pièce originale, brève, simple, douloureuse, disqualifie toutes les adaptations :


1 commentaire:

  1. Le disco en a fait des ravages ! mais j’aime assez la version Chamfort, beaucoup plus émotive tout en restant retenue, sans tapage ; intime, mais pas exhibitionniste. Cette expression de langueur désillusionnée n’aurait sans doute pas déplu à Chopin, les préludes de cette suite étant plutôt graves, si ce n’est sombres (et celui-ci tout particulièrement). « Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, et j’en sais d’immortels qui sont de purs sanglots. » (Musset)

    RépondreSupprimer

Bonjour. Ce blog rédigé bénévolement ne fait pas partie de ces réseaux "sociaux" où, sous couvert d'anonymat, on vient déverser ses petites ou grosses haines. Les commentaires "ronchons" ou égrillards ne sont pas publiés, de même que ceux dont le pseudo contient un lien menant vers un blog ou site pornographique. Signez d'un pseudo si vous voulez, sans en changer, de façon à ce que nous puissions sympathiser, merci !