J’ai un très bon souvenir de Vérone, de ses cafés et ses habitants. Je m’y suis promené, à l’époque où j’étais punk, habillé comme tel, avec une belle crête verte qui fit sensation. Les gens (qui n’avaient jamais vu ça) étaient hilares, mais tout à fait amicaux. Très souvent, ils m’attrapaient dans la rue pour m’entraîner de manière très sympathique dans leur caffè et me payer à boire. Du fond des années, je leur envoie un : salute!
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J’ai un très bon souvenir de Vérone, de ses cafés et ses habitants.
RépondreSupprimerJe m’y suis promené, à l’époque où j’étais punk, habillé comme tel, avec une belle crête verte qui fit sensation. Les gens (qui n’avaient jamais vu ça) étaient hilares, mais tout à fait amicaux. Très souvent, ils m’attrapaient dans la rue pour m’entraîner de manière très sympathique dans leur caffè et me payer à boire.
Du fond des années, je leur envoie un : salute!
sais tu qu'on dit en alte Italie que les Veronais sont tous fous?
RépondreSupprimerVeronesi tutti matti
Vicentini magnagatti
Veneziani gran dottori
Padovani gran signori
Est-ce le balcon sous lequel Roméo s'exprimait ?
RépondreSupprimer@Xersex : et les milanais ?
RépondreSupprimer@Roland : non.
Si l'on en croit Stendhal, les Milanais sont aimables et naturels.
RépondreSupprimerDommage qu'il ne s'arrêta pas à Vérone.