Tout chez cet indolent allongé me rappelle quelque sieste de fin d'été provençal.
La moiteur de la maison silencieuse et paisible, les moustiquaires qui vibraient imperceptiblement, le chant des cigales au dehors où le soleil éclatait. L'orage viendrait sans doute un peu plus tard dans la soirée.
Et là, ne trouvant pas le repos, je m'étais assis aux pieds du lit dans ces instants de grâce où je le regardais dormir...
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Tout chez cet indolent allongé me rappelle quelque sieste de fin d'été provençal.
RépondreSupprimerLa moiteur de la maison silencieuse et paisible, les moustiquaires qui vibraient imperceptiblement, le chant des cigales au dehors où le soleil éclatait. L'orage viendrait sans doute un peu plus tard dans la soirée.
Et là, ne trouvant pas le repos, je m'étais assis aux pieds du lit dans ces instants de grâce où je le regardais dormir...