Je l'ai entendue chaque matin dans cette belle salle-à-manger baroque d'un hôtel napolitain :
la chanson de Lucio Dalla a fait le tour du monde.
J'ose dire qu'ici, la voix du regretté Lucio me touche beaucoup plus que celle de l'illustre ténor Pavarotti. Peut-être parce que la sincérité de cette voix toujours à la limite de la rupture, moins "professionnelle", est plus proche de mon cœur.
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