Parfois je fais de mes paupières un barrage, pour l'éviter. Ce n'est pas toujours possible. Et puis, est-ce que ce sont les larmes qui se tarissent, ou la dureté du monde qui nous assèche?
Heureusement, il y a des moyens pour lutter contre la dureté du monde...comme votre blog...tout en douceur. Et nous pouvons alors utiliser nos larmes pour irriguer des graines d'amour...
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Les larmes sont d'une eau qui lave.
RépondreSupprimerParfois je fais de mes paupières un barrage, pour l'éviter. Ce n'est pas toujours possible. Et puis, est-ce que ce sont les larmes qui se tarissent, ou la dureté du monde qui nous assèche?
RépondreSupprimerSans doute la deuxième proposition, J.Christophe.
RépondreSupprimerHeureusement, il y a des moyens pour lutter contre la dureté du monde...comme votre blog...tout en douceur. Et nous pouvons alors utiliser nos larmes pour irriguer des graines d'amour...
RépondreSupprimerMerci "Anonyme" : un prénom en fin de commentaire, la prochaine fois ?
RépondreSupprimerPutain de photos !
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