Les lèvres de cuivre sont encore en place, mais il faut imaginer dans les orbites des yeux de coquillage et de pierre dure, avec des cils de cuivre, donnant un regard d'une grand intensité, comme on peut encore le voir sur l'aurige de Delphes. Malgré un épiderme un peu abîmé au niveau de l'épaule, l'effet est saisissant.
Bonjour. Ce blog rédigé bénévolement ne fait pas partie de ces réseaux "sociaux" où, sous couvert d'anonymat, on vient déverser ses petites ou grosses haines. Les commentaires "ronchons" ou égrillards ne sont pas publiés, de même que ceux dont le pseudo contient un lien menant vers un blog ou site pornographique. Signez d'un pseudo si vous voulez, sans en changer, de façon à ce que nous puissions sympathiser, merci !
Incroyable travail de restauration. Il méritait bien ça ce bel éphèbe.
RépondreSupprimerJeremy
Oui, Jeremy : miraculeux !
RépondreSupprimerJe l'ai vu l'an dernier au Louvre. Magnifique !
RépondreSupprimerExtraordinaire !
RépondreSupprimerSandro ;)
Les lèvres de cuivre sont encore en place, mais il faut imaginer dans les orbites des yeux de coquillage et de pierre dure, avec des cils de cuivre, donnant un regard d'une grand intensité, comme on peut encore le voir sur l'aurige de Delphes.
RépondreSupprimerMalgré un épiderme un peu abîmé au niveau de l'épaule, l'effet est saisissant.
Merci pour cette belle découverte que j'ai ratée, habitant bien loin de Paris maintenant. Puis-je l'emprunter en te citant ?
RépondreSupprimer@Chris :avec plaisir, et même sans me citer ; l'art appartient à tous !
RépondreSupprimer