mardi 4 mars 2014

Déjà

6 commentaires:

  1. C'est aussi l'emphase sans nuances. La pensée devient manichéenne, sclérosée dans des présupposés où ce qui en diffère (quel que soit le camp) est honni. Moi, je me réjouis de savoir que je n'aurai jamais raison tout seul ! et que l'autre me sera toujours indispensable, aussi "autre" soit-il.

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  2. Un peu fumeux, votre commentaire, cher Pierre !

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  3. Pas si fumeux, je trouve. Mais il y a tout de même quelques "autres" qui ne me sont pas vraiment indispensables. Il est vrai qu'il faut écouter tous les points de vue. En cas de nausée, on peut aussi se boucher les oreilles.

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  4. C'est peut-être la forme - un rien sentencieuse, avouez ! - qui m'a dérangé, plus que le propos...

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  5. @ Charles : Il n'y a pas de fumée sans feu, et je me chauffe avec du gros bois.

    @ Silvano : On sait bien à qui vous pensez, mais, dans tous les cas, il faut être deux pour qu'il y ait une guerre... comme pour un amour. Si on les hait, on est comme eux. Les mots ne suffisent pas : agir, par l'exemple, est le moyen. L'Histoire est de notre côté.

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  6. Ce n'est pas à ça que je pensais précisément, mais à tous les tenants de la haine et de l'exclusion.

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