"Nous voici donc au Musikverein en 1983. La Symphonie en sol n° 88 de Haydn par les Wiener Philharmoniker est en soi une petite merveille (en intégralité ici).
Rien dans les mains, tout dans les yeux !
Mais il y a plus. Sans attendre les rappels, maître Bernstein lève la baguette et reprend, en bis, l'Allegro con spirito final. Puis il baisse les bras, les croise, et décide de diriger le mouvement sans un geste. Rien dans les mains, tout dans les yeux, pour le plus grand plaisir du réalisateur Humphrey Burton. Sacré Lenny !"
(Diapason Mag)
Un visage qui fascine autant par son expressivité, la complicité avec les musiciens qu'il dégage, la sérénité et la maîtrise d'un art qu'il fait comprendre, la beauté des traits auquel l'âge n'ôte évidemment rien, mais peut-être et surtout par ce je-ne-sais-quoi d'espiègle et d'amusé qui indique à l'observateur attentif que cet homme ne se méprend nullement sur les vanités de l'art...
RépondreSupprimerSilvano, épaté j'suis. Merci 1000x.
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