J'aime beaucoup l'association de votre titre et de la photo, point de départ potentiel/virtuel de toute une histoire, d'un roman biographique aux contours encore mal définis, à construire pour le lecteur mais en germination, en reconstruction, en tension, en effort de ressuscitation dans l'esprit du scripteur... J'adhère complètement.
Votre commentaire, another country, rejoint ma réflexion lors de cette découverte. J'ai immédiatement pensé, voyant la photo, à une anecdote récente de ma vraie vie. Le titre s'est imposé en fulgurance.
Je partage totalement le ressenti d’Another country. Or faut-il préférer – le moins regretter – la lettre qu’on n’enverra jamais ? ou celle qu’on n’aurait jamais dû envoyer... J’ai connu les deux. La première m’est moins amère.
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J'aime beaucoup l'association de votre titre et de la photo, point de départ potentiel/virtuel de toute une histoire, d'un roman biographique aux contours encore mal définis, à construire pour le lecteur mais en germination, en reconstruction, en tension, en effort de ressuscitation dans l'esprit du scripteur... J'adhère complètement.
RépondreSupprimerVotre commentaire, another country, rejoint ma réflexion lors de cette découverte. J'ai immédiatement pensé, voyant la photo, à une anecdote récente de ma vraie vie. Le titre s'est imposé en fulgurance.
RépondreSupprimerJe partage totalement le ressenti d’Another country.
RépondreSupprimerOr faut-il préférer – le moins regretter – la lettre qu’on n’enverra jamais ? ou celle qu’on n’aurait jamais dû envoyer... J’ai connu les deux. La première m’est moins amère.