La confusion est courante, mais il faut préciser qu’Hamlet débute la célèbre tirade un LIVRE à la main (se trouvant dans le palais, où il n’y a pas de crâne qui traîne).
Lors de la scène (autre) du cimetière, face au crâne du nain bouffon qu’il a connu enfant, il l’interroge où sont passées ses grimaces et ses moqueries...
Le corps de ce garçon reste très émouvant. Si ce n'était ce masque,je verrais en lui Lady Macbeth déplorant : "All the perfumes of Arabia cannot sweeten this little hand !.." Celeos
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La confusion est courante, mais il faut préciser qu’Hamlet débute la célèbre tirade un LIVRE à la main (se trouvant dans le palais, où il n’y a pas de crâne qui traîne).
RépondreSupprimerLors de la scène (autre) du cimetière, face au crâne du nain bouffon qu’il a connu enfant, il l’interroge où sont passées ses grimaces et ses moqueries...
Joli corps bien réel.
RépondreSupprimerJeremy
C'est un raccourci un peu facile, Pierre, c'est vrai.
RépondreSupprimerLe corps de ce garçon reste très émouvant. Si ce n'était ce masque,je verrais en lui Lady Macbeth déplorant : "All the perfumes of Arabia cannot sweeten this little hand !.."
RépondreSupprimerCeleos