Ce n'est pas un modèle quelconque, c'est une image de vie : un garçon à son réveil, auquel on a servi avec dévotion -de ma part, ce serait le cas ! - une tasse de café. On n'a pas jugé bon de retoucher la photo ; il y a tant de beauté ici, dans cette probable chambre d'étudiant aux murs fatigués et meurtris, que toute tentative de sublimer l'instant par quelque logiciel d'édition serait absolument vaine.
Cet ange est souverain, qui ne doit offrir ses lèvres qu'avec parcimonie.
Il faut l'admirer, l'aimer, et repartir sur la pointe des pieds.
Avec parcimonie ? N'est-ce pas faire fi de la générosité et de la fougue de la jeunesse, auxquelles cet ange n'échappe pas.
RépondreSupprimerJe fais fi.
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