samedi 9 août 2014

Ange lisant

Photo d'André Kertész, Martinique 1972

6 commentaires:

  1. Vous savez, en 72 encore, on ne voyait guère la différence entre prisons, lieux de vacances gratuits pour jeunes et autres garages à jeunes.
    Voir ce qu'en dit Zweig dans "Le monde d'hier" : il parlait du début du XXème, mais ça a perduré longtemps. Il a fallu 68 pour qu'on prenne en compte la jeunesse. Avant c'était quantité négligeable (Tiens, je reprendrai ça dans un billet, grâce à vous !)

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  2. @Silvano - La question de la jeunesse s'est posée, pendant la guerre. Ne négligeons pas l'éducation populaire. Mai a illustré les attentes, les espoirs, d'une génération - la mienne - soucieuse d'écrire une nouvelle page...

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  3. "La question de la jeunesse s'est posée, pendant la guerre" : c'est un fait, Roland, qu'on s'est rendu à l'évidence ; la jeunesse a rendu de grands services dans la période ; certains se sont égarés, aussi (cf. Lacombe Lucien).
    Pour mai, c'est vrai. Ses fossoyeurs ont encore du boulot.

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  4. @ Silvano - Avec le Mouvement de Mai, nous avons écrit l' Histoire, comme nos camarades de Prague, de Berlin...Aujourd'hui, nous sommes un objet d'histoire, dont les dimensions changent au fil des anniversaires décennaux. Le cinquantième anniversaire nourrira un autre regard.

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