Deux acteurs trop tôt disparus, Marie Trintignant et un bien mignon Guillaume Depardieu dans un extrait croustillant - si je puis dire - du film de Pierre SalvadoriCible émouvante.
Je suis un peu salace ce dimanche, tancez-moi si vous voulez.
Sa rage l'en a protégé, Maxence. Le choix de perdre sa jambe pourrait être vu comme un désaveu de filiation. Silvano, les anges ont aussi deux ailes, et ça ne lassera jamais...
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Le beau Guillaume, que j'avais vu dans un très bon film où il joue du violoncelle (?).
RépondreSupprimerAurait-il aussi mal vieilli que son père ?
Sa rage l'en a protégé, Maxence. Le choix de perdre sa jambe
RépondreSupprimerpourrait être vu comme un désaveu de filiation.
Silvano, les anges ont aussi deux ailes,
et ça ne lassera jamais...
Celeos
Je bois du petit lait, Celeos (concerne la réflexion sur Guillaume) et apprécie le clin d’œil qui suit.
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