Cette Vallée d'Obermann sous les doigts de ce colosse (Arcadi Volodos) est tour à tour exaltée et sensible, demande que soit mise en relief la part de féminité indispensable à tout homme.
C'est du piano Majeur. J'ai entendu, il y a peu, des stupidités sur Franz Liszt, que l'on voulait absolument comparer à Chopin, quand ils sont aux antipodes ! Aimer le piano, c'est aimer à la fois Franz et Frédéric, deux de mes indispensables amis.
Allez, accordez-vous 13 minutes de pure émotion.
Et faites un placement ; procurez-vous ce très beau disque :
Tudieu, quelle découverte !
RépondreSupprimerC'est admirable.
Le top !
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