Boy on wall (huile sur lin) Jonathan Wateridge |
Pour l'heure, il est entre les mains des éditeurs. Redoutant une "placardisation" dans les rayons LGBT, je souhaiterais qu'il soit lu par un large public : les jeunes gens "hétérosexuels" qui ont pu lire le manuscrit ont pleinement adhéré à cette histoire malgré les clivages de notre époque.
Je tiens à remercier vivement les fidèles de ce blog qui m'ont aidé dans l'écriture au fil des semaines, par leurs commentaires.
J'ai reçu, en outre, des messages sur ma boîte à lettres électroniques : l'un de leurs auteurs, tout particulièrement, a droit à mon immense gratitude.
A la lecture de l'un de ses courriels, je me suis dit : "Ne serait-ce que pour un seul lecteur, je dois le terminer" et, comme par magie, alors que j'étais "en panne", les pièces du "puzzle" se sont assemblées.
Les commentaires d'une lectrice, Marie, m'ont beaucoup touché : ils démontrent que l'Amour est universel.
Enfin, je remercie mes plus proches amis, B., E., F., et G., peu soupçonnables de complaisance, qui m'ont également encouragé (ils ont lu le récit fini) à imprimer et envoyer : je leur dois une énergie de jeune homme que j'avais pu croire éteinte.
Peu importe la suite, finalement : Tombe, Victor ! m'a rendu heureux.
A la grâce de Zeus et des éditeurs. Un autre parcours du combattant. Mes vœux vous accompagnent.
RépondreSupprimerJe vous suis immensément reconnaissant de m'avoir fait vivre d'aussi intenses moments, racontés délicatesse et justesse. J'ai reconnu mes propres passions, malgré des personnages, des circonstances et des lieux tout à fait différents.
RépondreSupprimer.
C'est bien là le principal: prendre plaisir à ce que l'on fait. Je vous dit m...e pour votre projet.
RépondreSupprimerMoi aussi, il m'a rendue heureuse, Silvano et émue et terriblement vivante.
RépondreSupprimerIl me semble qu'il n'y a rien de mieux à faire en ce monde que de rendre "un autre" heureux.
Personnellement, j'aimerais soutenir tous les Victor qui tombent pour les les consoler.
Merci infiniment
Marie
Hâte de voir le bel Angelo en couverture de ce magnifique texte, que je relirai avec grand plaisir dans sa version papier !
RépondreSupprimerJe vous adresse, moi aussi, Silvano, tous mes remerciements. Vous m'avez offert avec ce récit de belles émotions, des sourires, de la sensualité, et vous m'avez fait découvrir une époque qui fascine beaucoup de jeunes. Vous rentrez de Toscane, j'ai vu. Vous aviez déjà publié votre épilogue. Quand je suis allé à Florence, j'ai pensé à vous et à Tombe Victor. Je croise les doigts pour vous, et je veux être dans vos premiers lecteurs. Un banal merci ne suffit pas. Je vous fais part de mon total respect et de ma reconnaissance pour ces pages. Maxence.
RépondreSupprimerHe bien voilà une belle aventure qui continue.
RépondreSupprimerMerci pour tout ça. On en envie presque le héros finalement. C'est toujours bon de rêver.
Bonne continuation!
Merci à Maxence pour ce commentaire ainsi qu'à Thomas, qui vient commenter pour la première fois ici, si je ne me trompe ; et c'est bien touchant.
RépondreSupprimerPas tout à fait, mais j'ai troqué un complet anonymat par un plus souple ;)
RépondreSupprimerMerci d'avoir mené ce récit jusqu'à son terme, malgré les difficultés et les embuches. Cela en valait la peine. Je ne sais pas ce qu'il deviendra; en revanche, je ne doute pas que sous une forme ou une autre, il n'émeuve des coeurs sensibles (des deux sexes)encore longtemps.
RépondreSupprimerBravo, merci, amitiés de La Rochelle, en souvenir d'un déjeuner parisien.
@Antoine2 : si j'ai bien compris, vous avez trouvé un nouveau port d'attache ; une cité que j'aime beaucoup. Merci pour ce message amical et à bientôt peut-être.
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