L’œuvre de Jean-Philippe Rameau, génial compositeur français, se prête peu au piano "moderne".
Cette interprétation pourrait démentir le propos : l'exécution des ornements (mordants, trilles, appogiatures)demande précision et vélocité ; Sokolov s'en "joue" avec une admirable facilité.
En effet, cette interprétation est excellente. Mais je n'y entends plus le son du bec picorant le grain ! Décidément, je préfères toujours les interprétations des œuvres de cette époque au clavecin, pour qui cette littérature a été écrite.
RépondreSupprimerNormal, Cyril : le piano n'est pas un instrument à cordes picorées, comme le clavecin.
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