Pour patienter il y aura le film du jeune Dolan, Mommy, qui sort en octobre, et la semaine prochaine le retour de Catherine Deneuve à l'écran dans le film 3 coeurs de Benoit Jacquot. Ozon en novembre, un thème et un affiche très Almodovar ...
Le film de François Ozon m'a ému, j'ai eu la chance de le découvrir lundi soir à l'occasion de l'avant-première parisienne : tension permanente entre la comédie et le drame ; un acteur homme à femme en femme croqueuse d'homme (le renversement est saisissant) ; une scène bouleversante et qui a lieu dans un cabaret de province au son de Nicole Croisille (Une femme avec toi) m'a semblé particulièrement réussie (on pense immanquablement à Almodovar). Après tout, faire un film sur le travestissement c'est faire un film sur le cinéma : entre rêve et réalité Ozon tisse une histoire hors genre et bouleversante (quelque part entre Certains l'aiment chaud et Laurence Anyways). Je vous le recommande vivement (même si on regrette toujours un peu le Ozon de Potiche ou de 8 Femmes ...). Bonne journée Silvano !
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Pour patienter il y aura le film du jeune Dolan, Mommy, qui sort en octobre, et la semaine prochaine le retour de Catherine Deneuve à l'écran dans le film 3 coeurs de Benoit Jacquot. Ozon en novembre, un thème et un affiche très Almodovar ...
RépondreSupprimerClément
Clément, ces 3 films sont, évidemment, à mon programme.
RépondreSupprimerJe n'en doutais point. MK2 Bastille pour moi cet après-midi, rendez-vous avec Deneuve. :-)
RépondreSupprimerBonne journée !
Clément
Le film de François Ozon m'a ému, j'ai eu la chance de le découvrir lundi soir à l'occasion de l'avant-première parisienne : tension permanente entre la comédie et le drame ; un acteur homme à femme en femme croqueuse d'homme (le renversement est saisissant) ; une scène bouleversante et qui a lieu dans un cabaret de province au son de Nicole Croisille (Une femme avec toi) m'a semblé particulièrement réussie (on pense immanquablement à Almodovar). Après tout, faire un film sur le travestissement c'est faire un film sur le cinéma : entre rêve et réalité Ozon tisse une histoire hors genre et bouleversante (quelque part entre Certains l'aiment chaud et Laurence Anyways). Je vous le recommande vivement (même si on regrette toujours un peu le Ozon de Potiche ou de 8 Femmes ...). Bonne journée Silvano !
RépondreSupprimerClément