Photo qui détone lorsqu'on feuillette l'album où l'on puise la matière pour ce blog : on passe sur elle, croyant la remarquer à peine, on passe à la suite, et - pourquoi donc ? - on revient en arrière, s'y arrête à nouveau plus longuement.
Parce que cette image est loin d'être parfaite, parce qu'elle recèle un reflet, celui d'un regard aimant, elle est une exception.
C'est vrai que se beau et doux visage endormi est touchant. Craquant ce bel angelot.
RépondreSupprimerJeremy
Oui, un très bel odalisque à la peau laiteuse. Il n'y a aucune imperfection.
RépondreSupprimerJe soulignais, mes amis, le côté "non professionnel" de l'image. Le garçon, pour moi, est parfait.
RépondreSupprimerLe jeu artificiel des filtres et autres stratagèmes nuit gravement à la sincérité. Pas sûr que Man Ray autrefois ou Nan Goldin aujourd'hui s'en soient beaucoup servi.
RépondreSupprimerla langue française à ceci de remarquable qu'il suffit d'ajouter un participe passé à l'auxiliaire imparfait pour parvenir au plus - que - parfait! ne serait ce pas d'application dans ce cas précis de l'art photographique?
RépondreSupprimerC'est simplement beau.
RépondreSupprimer"ne serait ce pas d'application dans ce cas précis de l'art photographique?" : plaît-il, Joseph ?
RépondreSupprimerne dites vous pas dans le texte ,"on revient en arrière" ? ce qui ajoute du passé et de l'imparfait au plus que parfait nous avons franchi de pas!
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