mardi 23 décembre 2014

Il Maestro

Visconti dirige Björn Andresen sur le tournage de  Mort à Venise, 1971.
J'avais projeté "Mort à Venise" au jeune fils d'un cinéaste français très connu. Le garçon, par là même au fait des choses du cinéma, me dit : "il n'y a pas un seul plan qui soit raté, et beaucoup sont extraordinaires !".
C'est un fait : si le sujet de l'adaptation roman de Thoman Mann, et son traitement par Visconti sont bouleversants, si le personnage de Tadzio incarné par Björn Andresen peut susciter des émotions chez certains (de nature parfois malsaine, disons-le), le film est un sommet du 7ème Art ; purement et simplement.

Qu'est-ce qu'un plan parfait ? Démonstration.

4 commentaires:

  1. et comment oublier l'adagio et les quelques notes de la lettre à Elise!

    RépondreSupprimer
  2. Oui, Visconti parvient à rendre "Élise" supportable.

    RépondreSupprimer
  3. ...mais les coups de zoom...les coups de zoom...je sais bien , "mais c'est un film sur le regard", mais les coups de zoom , hélas..
    merci pour vos billets
    bon noël !

    RépondreSupprimer
  4. Petit jeu :
    Quel est le nom du bateau qui amène Aschenbach à Venise ?
    Quel est le nom de la fille qu'il honore d'une visite à la maison close ?
    Roger

    RépondreSupprimer

Bonjour. Ce blog rédigé bénévolement ne fait pas partie de ces réseaux "sociaux" où, sous couvert d'anonymat, on vient déverser ses petites ou grosses haines. Les commentaires "ronchons" ou égrillards ne sont pas publiés, de même que ceux dont le pseudo contient un lien menant vers un blog ou site pornographique. Signez d'un pseudo si vous voulez, sans en changer, de façon à ce que nous puissions sympathiser, merci !