vendredi 30 janvier 2015
Du bon usage de certain privilège
Ne jamais les pétrir, les malaxer, non : les effleurer seulement en murmurant des gentillesses à son oreille, de celles qui le font ronronner. Y poser la tête et converser ainsi, le regard égaré, se laisser submerger par le flux des vagues de tendresse, s'y réchauffer sous la couette dans le petit matin renaissant. Y déposer un baiser et s'en séparer à regret : lui apporter un café presque aussi brûlant que l'émotion de ce moment unique.
7 commentaires:
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qu'en termes galants ces choses sont dites! et si richement illustrées, du grand Art ! et si vrai qu'on dirait du vécu...
RépondreSupprimerBelle ode.
RépondreSupprimerAntonin
A méditer, Antonin, à méditer...
RépondreSupprimer" ...tenant dans la coupe de mes paumes ses deux fesses douces ", écrivait Allen Ginsberg
RépondreSupprimerArthur P. : pas de message personnel, merci ! :)
RépondreSupprimerGrillé :)
RépondreSupprimerMiaou !
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