*Il
y
a
un
je-ne-sais-quoi
de
bouleversant
ici.
mardi 31 mars 2015
Iasonas en petite tenue.
Via Homotography
Iasonas Laios photographié par Nicolas Aristidou
Sans publicité, et sans chauvinisme : le slip est... français.
Cadeau : la voix !
Puccini - La Bohème Quando m'en vo'
Anna Netrebko soprano
St. Petersburg Philharmonic Orchestra
Yuri Temirkanov direction
lundi 30 mars 2015
dimanche 29 mars 2015
Hier soir...
on a un peu trop bu
;
on a fait des bêtises.
;
on a fait des bêtises.
L'alcool et les substances euphorisantes nous égarent :
pensons à nous protéger en toute circonstance.
Pour tous ceux que le fléau n'a pas épargnés :
Pour tous ceux que le fléau n'a pas épargnés :
Jouons-la à pile ou fesses avec Mars
Gilles, lecteur attentif m'envoie ces deux photographies du Mars de l'escalier des géants du Palais des Doges de Venise.
Loin des promenades en gondole et des masques made in China (ne jamais aller au "carnaval", qu'on se le dise !), il existe un tourisme intelligent.
Merci, Gilles, d'avoir pensé à Gay Cultes - mais pourquoi donc ? - en contemplant ce splendide fessier...
samedi 28 mars 2015
Chouette(s) alors !
Cadeau : Clair de lune
Paul Crosley, piano : Clair de lune de la Suite Bergamasque
de Claude Debussy inspiré par le poème de Verlaine :
Votre âme est un paysage choisi
Que vont charmant masques et bergamasques
Jouant du luth et dansant et quasi
Tristes sous leurs déguisements fantasques.
Tout en chantant sur le mode mineur
L'amour vainqueur et la vie opportune,
Ils n'ont pas l'air de croire à leur bonheur
Et leur chanson se mêle au clair de lune,
Au calme clair de lune triste et beau,
Qui fait rêver les oiseaux dans les arbres
Et sangloter d'extase les jets d'eau,
Les grands jets d'eau sveltes parmi les marbres.
Paul Verlaine
vendredi 27 mars 2015
jeudi 26 mars 2015
Qui veut jouer aux indiens avec moi ?
Alors, moi je serais une squaw ; tu m'attacherais à un arbre, et tu me ferais subir les derniers outrages, hein, dis !
Scène émouvante
Ezra Miller et Logan Lerman | Le monde de Charlie (Stephen Chbosky 2012)
C'est un joli film, injustement rangé au rayon des "films pour ados".
Vœux pieux, semble-t-il
“Ce que nous a apporté la psychanalyse au vingtième siècle, c’est de nous faire découvrir que le diable existait en nous ; ce qui nous reste à découvrir pour le prochain siècle, c’est que les dieux y existent aussi.”
André Malraux |
Troublante élégance
En mode "Jean-Pierre Coffe", l'autre soir, j'expliquai à un jeune homme désireux d'être "impeccable", que la socquette laissant apparaître une parcelle de chair blafarde était inélégante au possible, et qu'il fallait lui préférer des mi-bas. La conversation prit fin sur une démonstration de cirage-glaçage de ses chaussures de marque anglaise.
Si la photo ci-dessus, destinée sans aucun doute à une revue de mode, est fort convenue, je ne peux m'empêcher, en revanche, de relever le puissant érotisme émanant des cuisses ainsi découvertes. On est loin, ici, du petit bout de mollet évoqué précédemment.
Et puis, le modèle, Ilias Avantiras, est grec, c'est bien.
De plus, vous constaterez qu'un rien l'habille :
mercredi 25 mars 2015
Incroyablement prophétique !
Retrouvé dans les caves de l'INA, ce film de 1947, inspiré d'un récit de René Barjavel, prévoyait de manière étonnamment précise ce que serait notre monde en... 2015.
Une pépite.
mardi 24 mars 2015
"Mélancolique et libre"
C'est l'excellent auteur Abdellah Taïa qui recommande cette chanson, qu'il définit fort justement de "libre et mélancolique", et ce chanteur sur sa page facebook.
Effectivement.
Où tu iras, j'irai*
Colonnato del Bernini, Vaticano, Roma… by giòvanna on Flickr. |
lundi 23 mars 2015
Molière, gay ?!
Passe d'armes, dans le site de l'Obs, entre le dramaturge Jean-Marie Besset et l'historien de la littérature Georges Forestier quant à la probable ou improbable homosexualité de l'immense auteur dramatique.
L'auteur de l'article conclut ainsi son "chapeau" :
"Le seul point sur lequel les deux sont d’accord : Molière n’était pas, comme certains le prétendent, le prête-nom de Corneille. C’est bien lui qui a écrit ses pièces. C’est déjà ça."
Oui : effectivement, qu'importe ?
Le duel ici : clic
Le banquet d'Auteuil : lassé des infidélités de sa femme, Molière s'installe dans une maison à Auteuil. Là, vit à demeure son jeune protégé, l'acteur prodige Michel Baron, ainsi que l'ami de toujours, l'écrivain Chapelle. Chapelle, aimable fêtard, invite une turbulente troupe à dîner, les musiciens Lully, Dassoucy et Pierrotin, les hommes de cour Jonsac et Nantouillet, bientôt rejoints par leur ami disparu, Cyrano de Bergerac, fantôme facétieux. Ces libertins vont moquer (ou envier) la passion jalouse de l'auteur du Misanthrope pour Michel Baron. L'art et l'amitié peuvent-ils nous sauver de l'absurdité de la vie ?
Jusqu'au 25 avril, Théâtre 14, 20 avenue Marc Sangnier 75014 Paris
Site : clic
L'auteur de l'article conclut ainsi son "chapeau" :
"Le seul point sur lequel les deux sont d’accord : Molière n’était pas, comme certains le prétendent, le prête-nom de Corneille. C’est bien lui qui a écrit ses pièces. C’est déjà ça."
Oui : effectivement, qu'importe ?
Le duel ici : clic
Le banquet d'Auteuil, de Jean-Marie Besset - Selon l'auteur, le sieur Baron (au centre) fut l'amant de Molière. Photo (c)Marc Ginot |
Jusqu'au 25 avril, Théâtre 14, 20 avenue Marc Sangnier 75014 Paris
Site : clic