* Paraphrase : connaissez-vous le titre et l'auteur du très beau roman américain
auquel je fais allusion ici ?
Note du 12 mars : bravo aux lecteurs érudits qui ont trouvé le titre (voir les commentaires), d'autant que je vous ai malicieusement égarés, remplaçant "près de" par "au bord de".
Je ne connais pas le roman mais je ferais bien connaissance avec ce garçon au bord de la piscine.
RépondreSupprimerJeremy
Serait-ce "Le Garçon près de la rivière" de Gore Vidal ? Très beau roman, en effet.
RépondreSupprimer-Cornelis-
je donne ma langue au chat, quoique je préférerais la garder pour un autre usage...et le charme de cet image n'y serait pas pour rien! qu'il est doux de rêver aux étoiles inaccessibles
RépondreSupprimerTrop facile ? "Un garçon au bord de la rivière". Gore Vidal. 1948. Parfois traduit "Un garçon près de la rivière".
RépondreSupprimerBernard
Trop facile !
RépondreSupprimerUn Garçon près de la rivière
Gore Vidal
Je connais le roman de Luis Algorri, "le garçon de la piscine". Mais un américain... ? Je suis curieux de savoir !
RépondreSupprimerJérôme
"Un garçon près de la rivière" de Gore Vidal. Un classique...
RépondreSupprimerThe Boy in the Lake by Eric Swanson
RépondreSupprimerApparemment, nous séchons, professeur Silvano.
RépondreSupprimerMarie
Une nouvelle naissance...
RépondreSupprimerIl s'agit bien de "Un garçon près de la rivière" de Gore Vidal (éd. Rivages Poche).
RépondreSupprimerBravo à minidok, Bernard, Cornelis, et Bibliothèque Gay. C'est un excellent roman.
"Un garçon près de la rivière" est un grand classique, mais je recommande aussi "Le garçon de la piscine" de Luis Algorri, d'une qualité littéraire inférieure mais beaucoup plus hot !!!
RépondreSupprimerEmmanuel F. : "plus hot" ne signifiant pas forcément "plus excitant". Mais vous êtes deux à me le signaler : je m'informe.
RépondreSupprimerJ'irai me promener du côté de la rivière. Vos recommandations, cher Silvano, sont toujours très utiles.
RépondreSupprimerIl y a des jours où je ferais mieux de me taire...
RépondreSupprimerMarie
Surtout pas, Marie. D'autant que je viens de tout relire et que je m'esbaudis : j'avoue que la finesse du propos m'avait échappé.
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