notre enseignement nous en conviendrons est un métier à risque, les tentations y sont trop fortes c'est pour celà que en son temps je me suis bien gardé de m'y engager....
Leçon fascinante... car (comme certains et certaines haut placés ne veulent plus qu'on le sache) un autre nom latin de "la chose" est : "fascinum" – sans oublier : mentula, pipinna ou columna (grosse différence !), et cætera.
Bonjour. Ce blog rédigé bénévolement ne fait pas partie de ces réseaux "sociaux" où, sous couvert d'anonymat, on vient déverser ses petites ou grosses haines. Les commentaires "ronchons" ou égrillards ne sont pas publiés, de même que ceux dont le pseudo contient un lien menant vers un blog ou site pornographique. Signez d'un pseudo si vous voulez, sans en changer, de façon à ce que nous puissions sympathiser, merci !
Une application à encourager. La célébration esquissée nécessite d'autres étapes.
RépondreSupprimerMerci, cher Silvano, d'être de ceux qui soutiennent l'enseignement du latin !
RépondreSupprimerj'ignorais que le phallus se déclinait , au datif ,à l'ablatif ou au rébarbatif??
RépondreSupprimerEt vivent les langues anciennes !
RépondreSupprimer-Cornelis-
Je me demande quand même si vous ne préférez pas l'enseignement des Latins à celui du latin...
RépondreSupprimerestèf, je combine les deux.
RépondreSupprimernotre enseignement nous en conviendrons est un métier à risque, les tentations y sont trop fortes c'est pour celà que en son temps je me suis bien gardé de m'y engager....
RépondreSupprimerLeçon fascinante... car (comme certains et certaines haut placés ne veulent plus qu'on le sache) un autre nom latin de "la chose" est : "fascinum" – sans oublier : mentula, pipinna ou columna (grosse différence !), et cætera.
RépondreSupprimerJ'aime bien "columna", Pierre, c'est moins mesquin que "pipinna".
RépondreSupprimer