lundi 1 juin 2015


Avec certains êtres, très rares, il faudrait ne pas parler. Il faudrait tout de suite être dans les bras, caresser le visage, les paupières, les joues, les lèvres, les effleurer d'un doigt, lentement d'abord, puis dans un baiser, passionnément. S'embrasser. S'étreindre. Les mots sont inutiles. Les mots viendraient plus tard confirmer ce que les corps ont su dès les premiers instants.
—  Laurence Tardieu

3 commentaires:

  1. "très rares", car il n'y a peut-être qu'un pour chacun et que le trouver n'est pas exempt de péril!

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  2. Quelle douceur...Quelle tendresse...Le sel de la vie partagée.

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  3. Croisement de lignes, en effet. Et ce n'est pas la première fois, il me semble...
    Amitiés,
    Jérôme

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