Je suis toujours impressionné qu'en ces temps hystériques, il y ait des jeunes conscients que ce genre d'activité est hautement thérapeutique.
J'en sais un, proche de moi, qui n'aime rien tant que se ressourcer en de longues balades en forêt, fuyant Paris dès qu'il le peut pour se retrouver.
Je me souviens de mon frère cadet, féru de cette activité du bord de rivière, renonçant à m'initier à la pêche à la cuillère , tant le vol de celle-ci au fil de l'eau s'apparentait à de l'off-shore!
RépondreSupprimerVoir les truites remonter les barrages (claies en bois) de nos torrents de montagne...et découvrir les trouvailles, remontées dans son filet, par le maître de Gay cultes.
RépondreSupprimerLà, ce seraient plutôt des perches.
RépondreSupprimerJ'ai toujours rêvé d'être une perche.