Voici des fruits, des fleurs, des feuilles et des branches Et puis voici mon coeur qui ne bat que pour vous. Ne le déchirez pas avec vos deux mains blanches Et qu'à vos yeux si beaux l'humble présent soit doux.
J'arrive tout couvert encore de rosée Que le vent du matin vient glacer à mon front. Souffrez que ma fatigue à vos pieds reposée Rêve des chers instants qui la délasseront.
Sur votre jeune sein laissez rouler ma tête Toute sonore encor de vos derniers baisers Laissez-la s'apaiser de la bonne tempête Et que je dorme un peu puisque vous reposez.
traiter les fruits de "ridicule" , surtout quand ils lui camouflent les "précieuses" , Jean-Baptiste vous pardonnera t'il cet emprunt limite plagiaire?
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étrange ! la corbeille m'a rapellé Verlaine !
RépondreSupprimerVoici des fruits, des fleurs, des feuilles et des branches
Et puis voici mon coeur qui ne bat que pour vous.
Ne le déchirez pas avec vos deux mains blanches
Et qu'à vos yeux si beaux l'humble présent soit doux.
J'arrive tout couvert encore de rosée
Que le vent du matin vient glacer à mon front.
Souffrez que ma fatigue à vos pieds reposée
Rêve des chers instants qui la délasseront.
Sur votre jeune sein laissez rouler ma tête
Toute sonore encor de vos derniers baisers
Laissez-la s'apaiser de la bonne tempête
Et que je dorme un peu puisque vous reposez.
De la "perche à selfie" à Verlaine, il n'y a qu'un pas, c'est évident.
RépondreSupprimertraiter les fruits de "ridicule" , surtout quand ils lui camouflent les "précieuses" , Jean-Baptiste vous pardonnera t'il cet emprunt limite plagiaire?
RépondreSupprimerVous détournez mon propos, Joseph.
RépondreSupprimerIl y a des "progrès" grotesques.
RépondreSupprimerLe Monsieur te dit...
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