“En soi l’homosexualité est aussi limitante que
l’hétérosexualité : l’idéal devrait être de pouvoir aussi bien aimer une
femme qu’un homme, n’importe un être humain, sans éprouver ni peur, ni
contrainte, ni obligation.”
Il y a pourtant un commentaire d'un anonyme fort laid (je parle du commentaire, quoique que) que vous avez publié, il y a peu. J'ai beaucoup apprécié l'élégance de votre réponse. Marie
J'ai mes humeurs, Marie ; je m'y laisse aller de manière un tantinet aléatoire. Par exemple, j'ai reçu un commentaire flatteur non signé pour un autre billet ; je n'ai pas publié.
Puisse surtout notre monde qu'on aime tant, évoluer un peu comme ceci : http://yagg.com/2015/08/06/limage-du-jour-a-reykjavik-une-rue-entierement-arc-en-ciel/ , ou mieux encore, devenant capable d'apprécier chacun dans son entièreté. Intégrité... En attendant, j'apprécie grandement la sagesse redoutable de Simone de Beauvoir.
Je suppose que ce qui vous a choqué dans mon commentaire, c’est mon jugement sur Simone de Beauvoir. Mais je maintiens mon jugement sur sa formulation : je la trouve idiote, outre qu’elle est fâcheuse à l’égard des homosexuels comme des hétérosexuels exclusifs. D’une part, il ne peut pas y avoir d’amour quand il y a contrainte, peur ou obligation (sauf syndrome de Stockholm ;-) Et d’autre part, qu’importe que nous soyons susceptibles d’aimer l’humanité tous sexes confondus ? Un seul amour me suffit. La multitude dilue l’intensité de l’amour, et j’ajoute qu’elle dilue la beauté même de l’amour.
Jean-Claude, c'est nettement mieux avec une signature. Et, comme je l'écris plus haut, votre point de vue est intéressant. Mais nous n'avons pas le temps de débattre : je publie in-extremis, car je suis sur le point de partir en voyage. Bienvenue ici, et à bientôt.
Comment peut elle ne pas citer la bisexualité comme limitante dans le sens où elle engendre plutôt une insatisfaction de ne pas atteindre la plénitude dans la relation hétérosexuelle ET homosexuelle ? Et si l'initiale figure bien dans LGBT, dans la vie réelle j'ai des doutes pour son acceptation
Bonjour. Ce blog rédigé bénévolement ne fait pas partie de ces réseaux "sociaux" où, sous couvert d'anonymat, on vient déverser ses petites ou grosses haines. Les commentaires "ronchons" ou égrillards ne sont pas publiés, de même que ceux dont le pseudo contient un lien menant vers un blog ou site pornographique. Signez d'un pseudo si vous voulez, sans en changer, de façon à ce que nous puissions sympathiser, merci !
...mais c'est ce que nous faisons...
RépondreSupprimerMarie
Effectivement, Marie.
RépondreSupprimerJ'ai reçu un commentaire contradictoire intéressant. Mais l'anonymat...
RépondreSupprimerIl y a pourtant un commentaire d'un anonyme fort laid (je parle du commentaire, quoique que) que vous avez publié, il y a peu.
RépondreSupprimerJ'ai beaucoup apprécié l'élégance de votre réponse.
Marie
J'ai mes humeurs, Marie ; je m'y laisse aller de manière un tantinet aléatoire. Par exemple, j'ai reçu un commentaire flatteur non signé pour un autre billet ; je n'ai pas publié.
RépondreSupprimerPuisse surtout notre monde qu'on aime tant, évoluer un peu comme ceci : http://yagg.com/2015/08/06/limage-du-jour-a-reykjavik-une-rue-entierement-arc-en-ciel/ , ou mieux encore, devenant capable d'apprécier chacun dans son entièreté. Intégrité...
RépondreSupprimerEn attendant, j'apprécie grandement la sagesse redoutable de Simone de Beauvoir.
Je suppose que ce qui vous a choqué dans mon commentaire, c’est mon jugement sur Simone de Beauvoir.
RépondreSupprimerMais je maintiens mon jugement sur sa formulation : je la trouve idiote, outre qu’elle est fâcheuse à l’égard des homosexuels comme des hétérosexuels exclusifs. D’une part, il ne peut pas y avoir d’amour quand il y a contrainte, peur ou obligation (sauf syndrome de Stockholm ;-)
Et d’autre part, qu’importe que nous soyons susceptibles d’aimer l’humanité tous sexes confondus ? Un seul amour me suffit. La multitude dilue l’intensité de l’amour, et j’ajoute qu’elle dilue la beauté même de l’amour.
Jean-Claude, c'est nettement mieux avec une signature. Et, comme je l'écris plus haut, votre point de vue est intéressant. Mais nous n'avons pas le temps de débattre : je publie in-extremis, car je suis sur le point de partir en voyage. Bienvenue ici, et à bientôt.
RépondreSupprimerComment peut elle ne pas citer la bisexualité comme limitante dans le sens où elle engendre plutôt une insatisfaction de ne pas atteindre la plénitude dans la relation hétérosexuelle ET homosexuelle ? Et si l'initiale figure bien dans LGBT, dans la vie réelle j'ai des doutes pour son acceptation
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