Jour de chance : une manipulation hasardeuse m'a conduit à vous offrir deux photos d'anges tout nus pour le prix d'une aujourd'hui.
Par association, j'extrais celle-ci de mes archives après nouvelle vision, hier soir, du film Delivrance de John Boorman (1972) qui se déroule dans une ambiance nettement moins propice à la rêverie.
Note : mon doigt a glissé, esquivant le 1 de 18 heures. Ma mansuétude est sans limite : vous pourrez revenir à 6 heures, cet après-midi, pour un autre ange dénudé.
J'aime trouver, en papillonnant sur la toile - dont j'espère qu'elle n'est pas d'araignée - ce genre de photographie "de la vraie vie", supposé-je.
S'il s'agit d'un film ou d'une série, dites toujours : je m'en remettrai.
Ces deux garçons échangent leur premier baiser juste avant d'assister à une scène insoutenable.
C'est le début du premier épisode de la série norvégienne Témoin sous silence, diffusée actuellement sur Arte (le jeudi soir ).
Malheureusement, Arte n'a pas les droits de rediffusion (replay).
Merci à Razim qui m'a signalé ce programme et envoyé ces images.
C'est le petit air que l'on me joue chaque matin pour mon lever. Après que mes jeunes pages m'ont éveillé par leurs menues agaceries, je prends place sur ma chaise percée pendant que les musiciens de mon orchestre de chambre se mettent en position. J'ai exigé qu'ils accordent leurs instruments avant de pénétrer. C'est hyper-mega-over-cool d'être Roy de France.
Louis* *D'aucuns prétendent que ce texte est apocryphe.
Les mauvaises langues colportèrent que Monsieur Lully s'adonnait à ce que l'on nomme "vice italien"... et que les italiens appellent, quant à eux, "vice français".
La rumeur fit le buzz sur facebook et autres tweeter.
Le roi Louis en eut vent.
Et fit mettre au rebut tous les smartphones de la cour.
Imaginez : vous avez décidé d'aller passer votre dimanche à Giverny sur les traces de Claude Monet, d'y retrouver le charme indicible de ses Nymphéas, et là, dans le bassin aux nénuphars...
L'art de l'imitation de Claude Véga, spécialisé dans les voix féminines, a suscité bien des vocations. Il fut l'un des premiers à exceller dans l'exercice, et ses successeurs lui doivent beaucoup.
Le soin apporté au textes le distingue nettement, dans une profession où le pire côtoie le meilleur.
Agé aujourd'hui de 85 ans, il va publier ses souvenirs.
Ici, interview absurde de Jacqueline Maillan par une Denise Glaser* plus vraie que nature :
* Denise Glaser fut l'une des grandes figures de la télévision des années 60/70. Son émission Discorama était un point de rendez-vous obligé des "grands" de la chanson, interviewés d'une manière... inimitable (?)
C'est Eric D., lecteur ô combien utile, qui m'a fait découvrir Gert van Hoef, ce jeune musicien hollandais de 21 ans, venu à l'orgue sur un coup de foudre à l'adolescence.
Les vocations pour cet instrument, dont la pratique est ardue, sont rares dans nos sociétés tourmentées.
Ça méritait bien un coup de chapeau.
La Toccata de Charles-Marie Widor (1844/1937) est un morceau de bravoure que le jeune organiste maîtrise parfaitement.
L'adaptation pour orgue du "Trumpet Voluntary" ci-dessous offre moins d'intérêt, si ce n'est (sacrilège !) que l'assistant est fort sympathique...
Joli tandem :