Souvent attribué à tort à Pablo Neruda, ce texte est l’œuvre de Martha Medeiros.
samedi 19 septembre 2015
5 commentaires:
Bonjour. Ce blog rédigé bénévolement ne fait pas partie de ces réseaux "sociaux" où, sous couvert d'anonymat, on vient déverser ses petites ou grosses haines. Les commentaires "ronchons" ou égrillards ne sont pas publiés, de même que ceux dont le pseudo contient un lien menant vers un blog ou site pornographique. Signez d'un pseudo si vous voulez, sans en changer, de façon à ce que nous puissions sympathiser, merci !
Notre gaytitude, notre romantisme nous protègent de cette glaciation.
RépondreSupprimerCelui qui vit ainsi ne peut-il mourir d'épuisement ? Mais à tout choisir je signe la pétition.
RépondreSupprimerMerci Silvano d'éclairer les petits matins.
"Born to be alive" autre monument de la littérature !
RépondreSupprimerce texte est tellement vrai!
RépondreSupprimerJe crois que Kant (je ne suis plus certain que ce soit lui mais en tout un philosophe important) vivait ainsi. Il était ainsi pleinement disponible pour son oeuvre.
RépondreSupprimerBon week-end à tous.
Dan