mardi 6 octobre 2015

Dépouillé et poétique

Le salon de la maison de Pier Paolo Pasolini à Casarsa (Piergiorgio Branzi)

3 commentaires:

  1. Que de présence ! dans ce vide...

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  2. Le divan (ou peu s'en faut) et l'analyste à la neutralité bienveillante, juste en retrait, invisible du patient. En surplomb, son image préside au rite.

    Un lieu que meublera le récit.

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