Plutôt que de l'inquiétude, je préfère y lire une certaine morgue, comme peut la prendre cette aristocratie qu'est la jeunesse, dans l'affirmation de sa suffisance (à elle-même). Ce jeune page caravagesque est sûr de l'effet que sa chaude fraîcheur peut produire sur son mentor, y succombant, s'il l'ose... Un air de défi, relevé.
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Plutôt que de l'inquiétude, je préfère y lire une certaine morgue, comme peut la prendre cette aristocratie qu'est la jeunesse, dans l'affirmation de sa suffisance (à elle-même). Ce jeune page caravagesque est sûr de l'effet que sa chaude fraîcheur peut produire sur son mentor, y succombant, s'il l'ose... Un air de défi, relevé.
RépondreSupprimerJ'avoue avoir hésité : le regard est très ambigu.
RépondreSupprimeril aurait pu figurer dans les " 1001 nuits" de PPPasolini!
RépondreSupprimerIl reste très naturel, j'aime beaucoup.
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